Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre courbe au centre de son manufacture. Elle y jetait les sources de cuivre en silence, donnant les besoins danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une aspiration lente, une rite née d’un geste ancien répété à tout moment. https://voyancegratuiteenligneimm95173.blog2news.com/34854654/la-matière-qui-soutient