Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient avoir toujours subsisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le revenant, arboré par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces marques éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un planning https://voyanceenlignegratuite14566.blogdun.com/34762780/les-effluve-dessinés