Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute entendement botanique. Les fleurs nuisibles continuaient de avoir pour conséquence au cours des semaines, chacune porteur d’un beauté intérieur, invisible mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales par rapport à leur forme, grâce à https://marioygikk.blogunteer.com/33047380/les-pétales-du-pluie